Février - avril 2013
Ronan Cheviller | Est-ce que nous avons vraiment souvenir des premières histoires que nous avons entendues ? Pas sûr ?! Et pourtant, elles nous ont tant fascinés ! Par bribes, nous les avons stockées dans différents coins de notre mémoire et nous croyons même parfois les avoir vécues !
Lors du premier épisode de
février à avril 2013, l'équipe du THéâTRe aMOk interviewait plus de
quatre-vingt dix habitants
de tous âges et horizons sur les premières histoires dont ils se rappellent.
Après les entretiens, les comédiens collecteurs, Virginie Barthélémy, Emerik Guezou, Jean-Marie Lorvellec et Ronan Cheviller, sélectionnaient des extraits des enregistrements et retranscrivaient sur le papier les paroles. Puis Ronan Cheviller envoyait vers le théâtre les mots, écritures et (ré)écritures.
Après les entretiens, les comédiens collecteurs, Virginie Barthélémy, Emerik Guezou, Jean-Marie Lorvellec et Ronan Cheviller, sélectionnaient des extraits des enregistrements et retranscrivaient sur le papier les paroles. Puis Ronan Cheviller envoyait vers le théâtre les mots, écritures et (ré)écritures.
Entretiens à la Médiathèque Floresca Guépin | Avril 2013 |
Entretiens avec les résident-es de la Maison de retraite Haute-Mitrie |
Entretiens avec les participants de l'atelier français au quotidien de l'Accoord | Maison de quartier Bottière |
Ronan Cheviller | Très
rapidement, nous remarquons que les personnes que nous interrogeons
répondent abondamment. Ces histoires qui ont pu être racontées par les
parents sont teintées de souvenirs vrais, les histoires et la vie sont
mêlées. Certaines personnes nous racontent des contes, des comptines,
ainsi que nous avons demandé, et d'autres racontent leur vie et c'est
une histoire.
Les comédiens proposaient ensuite un second entretien avec ces mêmes habitants, afin d'approfondir les découvertes et surtout, de leur lire ces premiers textes, afin d'avoir leur avis.
Ronan Cheviller | À la lecture, les personnes sont toujours surprises qu'on puisse faire de «leurs petites histoires », un conte, un récit, un poème, de la langue comme si leur personne entrait dans « une comédie humaine ».
Les comédiens proposaient ensuite un second entretien avec ces mêmes habitants, afin d'approfondir les découvertes et surtout, de leur lire ces premiers textes, afin d'avoir leur avis.
Ronan Cheviller | À la lecture, les personnes sont toujours surprises qu'on puisse faire de «leurs petites histoires », un conte, un récit, un poème, de la langue comme si leur personne entrait dans « une comédie humaine ».
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